Le 113
Rim’K : « On ne peut pas oublier 1998 et la Coupe du monde française. Il faut comprendre que notre génération ne croyait plus en rien. Tous les jeunes issus de l’immigration n’avaient pas eu l’enfance qu’ils auraient voulue. C’était l’époque de la double peine, de Pasqua, des skins racistes. Alors, quand on a vécu cette victoire au Mondial, avec des types comme Zidane ou Thuram… on peut dire qu’ils nous ont inspirés. » (afriquemagazine.com, 01/10/10)
Jusqu'au jour où :
113 sort Tonton du bled